Escapade vibratoire en Minervois

Du 25 au 29 Mars 2024

Partie 1

Lien map

Lundi 25 mars

Arrivée à Minerve en début d'après midi, je me rends directement aux dolmens du Lac et de Bruneau.

Les vibrations ici sont très fortes et il y a beaucoup de présences invisibles. On peut distinguer au moins six dolmens dans un périmètre assez restreint. La plupart se distinguent à peine mais les deux mentionnés ici sont encore en bon état.

Je m’attarde autour du dolmen du lac mais c’est au dolmen de Bruneau que je reçois un message d’une présence féminine, une guérisseuse  :

Je suis Alaïa.

Tu n’as pas tord en parlant de guérisseuse, je suis une sorcière. Ou du moins je l’étais il y a fort longtemps, et je revendique, ce que vous appelez maintenant une sorcière. Pas dans le sens négatif du therme, mais plutôt dans son essence première. La sorcière est avant tout la femme de savoir, la guérisseuse, la scientifique, l’astronome, tous ces savoirs qui autrefois étaient détenues par les femmes et qui petit à petit leur ont été enlevés, pas forcement par des dogmes.

Elle me dit que ceux qui chassaient les sorcières ne le faisaient pas uniquement dans un but politique et de prise de pouvoir.

C’était bien plus profond. Il était surtout question de détruire l’humanité. La femme était à la fois détentrice de la vie et du savoir. En détruisant la femme, il était question de détruire l’humanité.

Elle me dit que ces temps sombres ne sont pas vraiment terminés, qu’il y a toujours actuellement un groupe obscure qui a toujours besoin de détruire la femme, d’annihiler le pouvoir féminin.

Elle me dit qu’on peu le voir encore aujourd’hui, pas seulement au travers de certains dogmes religieux mais aussi par le biais de certaines idéologies.

Elle me dit que ces temps arrivent à leur fin, que le nettoyage est en train de se faire mais qu’il prendra encore quelques années et que c’est plutôt les jeunes femmes de moins de vingt ans qui en verront l’apogée. Pour les plus âgées, nous en verrons les prémices mais pas la fin.

Elle s’adresse à toutes ces femmes qu’elle appelle des sœurs, toutes ces détentrices du savoir, ces guérisseuses, ces énergéticiennes qui œuvrent pour l’ascension de Gaïa et qui œuvrent pour le bien commun. Elle nous dit de ne plus rester dans l’ombre, de ne pas nous cacher, de ne pas avoir peur, de ne pas se laisser intimider. Elle nous dit de vivre pleinement qui on est sans avoir peur du vocabulaire utilisé. Elle insiste sur le mot sorcière qu’elle revendique pleinement. Elle dit qu’à son époque le mot n’avait pas le sens péjoratif qu’on lui a donné par la suite. Elle insiste sur le fait qu’à son époque la sorcière incarnait le pouvoir féminin, qu’elle détenait le savoir et donnait la vie. Elle était gardienne de la vie.

Elle nous demande de ne pas chercher à l’extérieur ce que l’on a à l’intérieur. On peut se faire aider, on peut partager, mais de ne pas oublier que l’on a tout en nous et que le vrai pouvoir est en nous.

Elle me montre des livres et me parle de savoir. Elle me dit que le savoir ancien a été perdu, qu’il a été parfois corrompu et donc de se méfier de certaines lectures. Tout n’est pas lumineux, il y a même parfois beaucoup de noirceur derrière.

Elle me dit de bien penser à ouvrir nos canaux et à les garder bien pures pour ne pas nous même nous faire corrompre.

Elle me dit qu’actuellement le mal agit énormément et de nous protéger. C’est par notre lumière qu’on arrivera à inverser la situation.

Elle ne parle pas d’éliminer le mal. Elle dit que l’univers est un grand tout et un équilibre et que l’équilibre ne peut se faire que par une part d’ombre et une part de lumière.

Elle nous dit de prendre soin de nous et de continuer à œuvrer, qui tout ira bien, que tout va bien, de nous connecter à Gaïa et à notre essence féminine.

Elle me dit que ce message arrivera à celles à auquelle il est destiné.